Journée de la femme à la BGE Hauts de France

Une vingtaine de femmes chefs d’entreprises ont répondu présente à l’invitation de la BGE Haut de France.
Une vingtaine de femmes chefs d’entreprises ont répondu présente à l’invitation de la BGE Haut de France.

La Journée internationale de la femme du 8 mars a été l’occasion pour l’association Boutique de gestion pour entreprendre (BGE) Hauts de France de réunir autour d’un petit déjeuner des femmes qui entreprennent, l’idée étant d’échanger sur les spécificités de l’entreprenariat au féminin. Une vingtaine de femmes chefs d’entreprise ou candidates à l’entreprenariat étaient présentes.

 

D.R.

Une vingtaine de femmes chefs d’entreprise ont répondu présent à l’invitation de la BGE Hauts de France.

L’entreprenariat au féminin. Cette réunion dans les locaux de la BGE a été l’occasion pour elles tout d’abord de se rencontrer et d’échanger. Comme l’a rappelé Ali Tikouirt, organisateur de cette manifestation, l’association se préoccupe depuis de nombreuses années de l’entreprenariat au féminin. Les difficultés sont identiques à celles des hommes dans la démarche globale de création, mais, pour les femmes, un regard plus critique de l’environnement économique et personnel s’impose. «Nous ne voulons blâmer personne, nous souhaitons juste que ces types de manifestation permettent une mise en commun des expériences de chacune.» Le conseiller de la BGE a introduit la discussion : «Nous nous contentons de poser des questions. Comment les femmes déjà chefs d’entreprise ont-elles réussi à passer ces barrières souvent informelles ? Comment développent-elles leur entreprise ? Comme les hommes ? Autrement ?»  Chacune a pu témoigner ou donner des conseils aux autres.

 

La Journée de la femme, un déclencheur. Cette Journée de la femme a pour objectif de provoquer la réflexion sur les spécificités de l’entreprenariat au féminin, Les personnes présentes ne s’y sont pas trompées et ont posé la question de la suite à donner à cette réunion : pourquoi ne pas organiser régulièrement des moments comme celui-ci, ou des soirées destinées aux femmes… Autant de pistes que la BGE Hauts de France envisage d’étudier. Pour conclure, Ali Tikouirt a évoqué l’idée d’organiser des temps similaires pour des femmes souhaitant développer un projet économique ou associatif. Il s’agit de démocratiser l’esprit d’initiative, les femmes ayant une large place dans ce domaine.

www.bge-hautsdefrance.fr