En direct des USA
Depuis plusieurs mois, le restaurant Le Sept ne désemplit pas. La clientèle, constituée notamment de salariés et de chefs d’entreprises, apprécie ce steak house exigeant, installé au pied du cinéma Gaumont d’Amiens.
Anciennement le 7e Art, le restaurant Le Sept s’est repositionné en steak et burger house. À la carte, des recettes gourmet autour de viandes de grands crus fournies par Lesage prestige. Black Angus, CT bone, viande normande maturée sur os… ici, on veille au choix des fournisseurs. Élevé dans les pâturages des grandes plaines, le bœuf Black Angus reçoit, à environ 15 mois et pendant 100 jours, à la fin de son cycle, un mélange de céréales pour lui donner ce goût inégalable et garantir une qualité constante, garantie sans hormones. Le Black Angus américain c’est aussi le plaisir des yeux grâce à un persillage exceptionnel. « Notre carte a été mise en place avec des professionnels de la viande qui nous garantissent une qualité gustative d’exception. Nous tenons à travailler aussi les produits français, comme les volailles du nord, le tartare charolais par exemple. Des produits accompagnés de frites et de sauces maison, ainsi que d’une carte des vins bien pensée. Pour chaque élément de notre carte nous choisissons le haut du panier », souligne Julien Vasseur, directeur associé du restaurant créé par Patrick Letellier, patron de l’incontournable Brasserie Jules, située à deux pas.
Identité toute trouvée
Le Sept sert également des burgers pour tous les goûts : à la viande Black Angus, végétarien, au saumon, au poulet ou tout fromage. « Les pains de nos burgers sont faits spécialement pour nous par le boulanger traiteur amiénois Le Petit Poucet. Nous mettons de la qualité partout. Après le 7e Art spécialisé en cuisine du monde, il nous fallait retrouver notre identité culinaire. Personne n’avait encore proposé un vrai steak house à Amiens, alors qu’une délicieuse grillade est toujours appréciée », poursuit Julien Vasseur qui modifie la carte du restaurant très régulièrement. Une chose qui sera toujours proposée, c’est la formule cinéma : le repas plus une place pour 26 euros. « Mon objectif reste bel et bien que l’on vienne au Sept pour la cuisine. Une cuisine inspirée des US mais revisitée à la française, dans une ambiance différente et soignée. Nous sommes contents de voir que le midi cela marche très bien et que le soir se développe aussi. Il est vrai que notre clientèle se compose le midi en semaine principalement de cadres d’entreprises alentours. Le soir, place aux familles et aux plus jeunes qui aiment aussi déguster de très bonnes viandes. Nous faisons aussi de bons samedis soir », se réjouit Patrick Letellier. Nouveau nom, nouveau positionnement, nouveau site internet, peut-être nouvelles embauches si l’activité du restaurant monte encore en puissance.