“Le Club E6 m’apporte avanttout l’échange humain queje recherche en priorité ! ”
Le Club E6 a pour objectif de rompre la solitude du chef d’entreprise par le partage d’expériences et de compétences, favorisant par l’échange la progression de l’homme, chef d’entreprise, et ce, dans le respect de six valeurs : écoute, échange, entraide, épanouissement, équilibre et efficacité. Ce mois-ci nous rencontrons Mathieu Mulliez de la société Véobat à Lesquin, gros oeuvre pour le particulier et carrelage pour le professionnel, membre du groupe Fusion au Club E6.
Comment avez-vous connu le Club E6 ?
J’en avais entendu parler comme d’autres clubs, lorsque j’étais encore à Nord-Entreprendre, par d’autres réseaux aussi. Mais c’est ma rencontre avec mon ami Grégoire Duriez qui a tout déclenché, il m’en a plusieurs fois parlé en positif, il m’a ensuite proposé de me parrainer et j’ai sauté le pas sans aucun problème, il me fallait une seconde structure d’échange sans façon dans le milieu entrepreneurial. Il n’y a pas eu de déclic au sens propre du terme, ça s’est fait naturellement, tranquillement. Je me suis donc retrouvé dans le groupe Fusion dès le début, c’est-à-dire maintenant voilà un an et demi.
Pourquoi être présent dans deux clubs en même temps ?
Simplement parce qu’après 3 ans à Nord-Entreprendre, je ne voulais pas quitter comme ça mes amis sur un claquement de doigt. Trois ans à être accompagné, ça compte dans une création d’entreprise et une vie. J’en sortais et je ressentais le besoin d’aller voir ailleurs aussi, et surtout de me plonger dans un milieu de chefs d’entreprises actifs et opérationnels alors qu’à Nord-Entreprendre, on est dans la formation puis l’accompagnement. Je conserve donc des liens affectifs avec Nord-Entreprendre mais mon implication prioritaire se fait aujourd’hui au Club E6 et à Fusion.
Comment se sont passés les débuts au Club E6 ?
Comme je m’y attendais en fait, paisiblement et joyeusement. L’entrée dans le groupe Fusion m’a mis dans le bain sans traîner via des échanges réguliers sur des thèmes que je connaissais déjà. Ce que je voulais, c’était sortir la tête de l’eau, m’aérer l’esprit. Et surtout tis