“Avoir ce prix, c’est un aboutissement”

Ineat conseil aura attendu de fêter ses cinq années d’existence pour entrer dans les critères de sélection du Deloitte Technology Fast 50. Cette année, pour sa première participation, l’entreprise se verra remettre le 2e prix Nord-Picardie. La récompense d’une stratégie de développement qui mise sur des consultants ultra-compétents.

La Gazette. Quel est le coeur de métier d’Ineat conseil ?

Cyril Delbecq. L’entreprise a été créée en 2006 par Yves Delnatte, Etienne Amaudric Du Chaffaut et moi-même. Ineat conseil se développe sur le marché de la gestion de flux d’information et des expertises en développement NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication, ndlr) : dématérialisation, partage de l’information dans l’entreprise, développement d’applications ou d’interfaces pour le e-commerce et le m-commerce.

Vous êtes basés à EuraTechnologies mais pas seulement…

Cyril Delbecq. Nous venons d’ouvrir une antenne à Bruxelles pour nous positionner à l’international. Ineat a également une agence à Paris. L’axe Paris-Lille- Bruxelles bouge beaucoup !

Quels sont vos projets ?

Cyril Delbecq. Nous avons lancé le projet “Perspectives 2014”. L’objectif : faire d’Ineat un leader sur son marché en accompagnant nos clients et nos consultants. La force de l’entreprise, ce sont nos équipes1. D’ici deux ans, on espère tripler notre chiffre d’affaires, avec un objectif de 14 M€ en 2014. Nous allons aussi nous développer davantage vers les PME/PMI car, actuellement, nos clients sont surtout des grands comptes.

Pourquoi avoir participé au Deloitte Technology Fast 50 ?

Yves Delnatte. On suit le palmarès depuis plusieurs années. On voulait déjà y participer l’an dernier mais l’entreprise n’avait pas cinq ans. En étant à Eura- Technologies, on côtoie beaucoup d’entreprises qui y ont participé et pour qui les retombées sont significatives.

Que vous apporte le 2e prix Nord-Picardie ?

Yves Delnatte. Une forme de reconnaissance. Ça fait du bien d’avoir un retour d’analystes et ça nous conforte dans notre projet ! Avoir un prix au bout de cinq ans, c’est un aboutissement.