Du 27 au 29 juin Baccarat

Avec la 3e édition du FIMA (Fes- tival International des Métiers d’Art), l’association Baccarat Dé- veloppement et la Ville de Bacca- rat célèbrent la valorisation des savoir-faire lorrains, nationaux et internationaux de l’artisanat d’art. L’édition 2014 est un hommage aux 5 sens, avec du beau à voir, toucher, sentir, écouter et même goûter.

10e Tuning Expo Du 27 au 29 juin Sarrebruck

une fois de plus, le temps d’un week-end, Sarrebruck endossera fn juin le titre ô combien prestigieux de «capitale européenne du Tuning». Depuis sa première édition en 2005, la Tuning Expo fait vrombir les cTmurs. Cette année près de 1 000 véhicules modifés et aménagés en tous genres seront présentés dans les 13 halls ainsi que sur l’immense emplacement extérieur du Parc des Expositions.

Jeux d’hivers par Éric Kaiser Jusqu’au 2 juillet Galerie 9, Nancy

Éric Kaiser raconte des histoires vers ses peintures, mais aussi son his- toire. Ses «Jeux d’hivers» protestataires sont également des «je divers» teintés par les réminiscences d’une enfance marquée par le souvenir, presque rêvé, d’un grand-père peintre qu’il n’a que très peu connu.

Quiz Jusqu’au 12 octobre Galerie Poirel un an après l’inau- guration de la com- mande publique Traits d’union, la Ville de Nancy confe une carte blanche au desi- gner international Robert Stadler. «Quiz» est une ex- position d’objets incarnant la dissi- pation des clivages entre art contemporain et design. Y sont réunis les travaux d’une large sélection d’artistes et de designers.

Julien Doré Jeudi 26 juin à 20h30 L’Autre Canal

Julien Doré a fait son retour l’été dernier avec «Paris-Seychelles», un morceau langoureux annon- çant la sortie de son troisième al- bum «Løve». un disque mélanco- lique mais également un véritable carnet de voyage…

L’Art et la guerre #2 Jusqu’au 25 août Musée des Beaux-Arts de Nancy

Le second opus de cette série est consacré aux «Malheurs et misères de la guerre», avec des Tmuvres de Jacques Callot, Émile Friant ou encore Paul-Émile Colin. L’accent est mis sur la représentation des malheurs humains engendrés par les confits.