Les directeurs financiers et de contrôle de gestion (DFCG) de Lorraine s’invitent dans le grand débat national. Le 28 février sur le campus nancéien Artem après une conférence sur la loi Pacte, le réseau des DFCG prend la balle au bond pour s’interroger sur la fiscalité et l’organisation des services publics.
Vous venez d’être élue présidente du réseau lorrain des DFCG, quelle est votre feuille de route ?
Animer notre réseau avec une dizaine de manifestations en propre histoire de renforcer les liens avec les institutionnels et l’écosystème entrepreneurial mais également accroître notre visibilité et notamment en participant et prenant la parole à l’occasion de manifestations extérieures.
Le 28 février à Nancy, vous organisez une rencontre dans le cadre du grand débat national. Sur quels sujets ?
Nous restons sur nos prérogatives ! Nous nous interrogerons sur la fiscalité et l’organisation des services publics. C’est l’exemple même de la continuité de la dynamique engagée par mon prédécesseur Arnaud Cozette. Il nous faut renforcer les liens avec nos adhérents mais également faire remonter au niveau national nos ressentis terrain.
Combien avez-vous d’adhérents aujourd’hui en Lorraine ?
Nous sommes une soixantaine ! Nous travaillons également, de façon naturelle, avec nos voisins alsaciens à l’image du trophée du financier régional remis en juin.