Bâtiment : Un bon coup de peinture…

Opération réussie le 2 décembre du côté du CFA du bâtiment de Pont-à-Mousson pour l’association Actions 3PF, regroupant les différents intervenants de la filière peinture du secteur, à l’occasion de l’étape de son Tour de France des métiers de la peinture. Objectif : mettre en interaction les entrepreneurs, les formateurs et les jeunes dans un souci d’attractivité de la filière.

Philippe Bertolani, Rachel Pellé et Henri Jardin de l’association Actions 3PF.
Philippe Bertolani, Rachel Pellé et Henri Jardin de l’association Actions 3PF.
Philippe Bertolani, Rachel Pellé et Henri Jardin de l’association Actions 3PF.

Philippe Bertolani, Rachel Pellé et Henri Jardin de l’association Actions 3PF.

«Il faut décloisonner pour permettre à nos métiers de perdurer et anticiper le renouvellement de nos effectifs.» À l’image de Rachel Pellé, la directrice générale de la société Bertolani, les membres de l’association Actions 3PF (regroupant les organisations professionnelles et les établissements de formation de la filière peinture et finition du bâtiment) brandissent leur bâton de pèlerin pour «faire connaître, valoriser et promouvoir nos métiers», comme l’assure Henri Jardin le président national de l’association.

Supports pédagogiques

Le 2 décembre, le CFA du bâtiment de Pont-à-Mousson a accueilli l’étape régionale de ce Tour de France des métiers de la peinture entamée à Nantes puis à Lyon en milieu d’année avant de gagner Bordeaux dans quelques jours. «En deux ans, nous devrions avoir réussi à faire le tour de l’Hexagone.» Entrepreneurs, formateurs et jeunes en apprentissage découvrent les différentes technologies aujourd’hui utilisées dans ces secteurs spécifiques. «Nous proposons surtout des supports pédagogiques pour les enseignants, histoire qu’ils forment les jeunes aux véritables techniques utilisées sur le terrain», renchérit Philippe Bertolani, le vice-président d’Actions 3PF. Une mobilisation générale où tous les acteurs de la filière se mobilisent dans une union sacrée plus que nécessaire afin «de changer les idées reçues et créer de nouvelles vocations.»