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C’est la hausse enregistrée de fréquentation des espaces hybrides de travail du groupe IWG (International Work Place Group) au cours du premier trimestre de cette année. Ce spécialiste des nouveaux espaces de travail, notamment détenteur des centres Regus présent à Nancy à côté de la gare, assure que ce marché des espaces de travail flexible ne cesse de progresser.
«Le travail hybride, où les employés partagent leurs journées entre le siège de l’entreprise, leur domicile et un espace de travail flexible local profite tant aux travailleurs, qu’aux entreprises», assure le groupe IWG. «Ce modèle permet d’un côté de maximiser les bénéfices et la productivité, avec près d’une personnes sur deux qui estime être plus efficace en combinant travail à distance et dans un bureau.» D’après l’étude du groupe, 78,5 % des travailleurs se sentent plus épanouis dans leur travail quand ils peuvent travailler de manière flexible. «Face à cette donne, notre objectif est de couvrir un maximum de territoires locaux où la demande pour le travail hybride est la plus forte. Notre mission est de rapprocher le lieu de travail des zones résidentielles des professionnels tout en proposant une alternative pérenne au travail à domicile», assure Christophe Burckart, directeur général d’IWG France. À côté des aspects purement organisationnels et du bien-être des collaborateurs, ce professionnel de l’accompagnement des entreprises dans leur recherche d’espace de travail (depuis plus de 30 ans) met également en avant l’aspect environnemental de la démarche. «Réduire les trajets domicile-travail est la principale mesure que les entreprises peuvent prendre pour réduire leur empreinte carbone.» D’après certaines études, les trajets effectués en voiture équivalent à une empreinte carbone de 3,2 tonnes de CO2 par personne et par an.