Consommation
Aldi inaugure son troisième magasin flambant neuf à Saint-Quentin
Les représentants régionaux de l’enseigne Aldi ont inauguré début novembre le nouveau magasin de la rue de Paris à Saint-Quentin, le 3e de la ville. Le nouvel équipement commercial, qui offre une plus large gamme de produits aux clients et de meilleures conditions de travail à l’équipe de salariés, trouve toute sa place dans un quartier en pleine rénovation urbaine.
L’enseigne
s’est déplacée de quelques centaines de mètres seulement dans la
rue de Paris mais pour les habitants du quartier Saint-Martin à
Saint-Quentin comme pour le personnel, ce déménagement ouvre de
nouvelles perspectives. Les représentants régionaux de l’enseigne
Aldi étaient présents à la veille de
l’ouverture du magasin, pour couper le ruban inaugural, en présence
des autorités locales, Corinne Minot, sous-préfet de
l’arrondissement de Saint-Quentin, et Frédérique Macarez, maire
de la ville et présidente de la communauté d’agglomération du
Saint-Quentinois. Cette inauguration officielle est désormais un
rendez-vous programmé pour chaque nouvelle implantation, l’enseigne
souhaitant se donner de la visibilité et « combler
le déficit de notoriété ».
Et de trois
Pour cette visite inaugurale, Théo Vicente, responsable Développement en charge des opérations immobilières pour les départements de l’Aisne et de l’Oise, accompagné de Julien Teugels directeur de la plate-forme de Reims, a guidé les officiels dans les allées du nouveau magasin, présenté « comme moderne, aéré, lumineux » et mieux achalandé : « Avec ce nouvel outil, nous avons doublé la surface de vente, nous proposons désormais des gammes complètes de produits exposés dans un meilleur linéaire, dans un magasin plus attractif mais qui demeure à taille humaine. »
Pour Frédérique Macarez, maire de la ville, ce projet privé s’intègre parfaitement à l’opération de transformation du quartier, la rue de Paris est actuellement toujours en travaux et le nouveau magasin a été construit sur une friche, une ancienne station service à l’abandon depuis plus d’une quinzaine d’années.
Pour Théo Vicente, rebâtir sur des friches est une volonté affirmée de l’enseigne, en témoigne le magasin de la rue de La Fère lui aussi édifié sur une ancienne station service. Ces implantations sur des « terrains assez piégeux » comme les a désignés Frédérique Magarez représente un coût pour le spécialiste allemand du discount, de dépollution pour l’un ou de remblaiement pour l’autre projet. Le coût total de l’investissement pour ce dernier des trois magasins rouvert sur le quartier avoisine les 4 millions d'euros HT.
Autre exigence de la direction, un bâtiment « plus
respectueux de l’environnement »,
équipé d’un éclairage à led
mais aussi de panneaux photovoltaïques et côté clients
l’installation de bornes de recharge pour les véhicules
électriques sur le parking. L’étape suivante, a confié Théo Vicente, sera l’installation d’ombrières sur les parkings.