3 questions à Marie-Alice Skaper, directrice du Cerfav
2022 vient d’être proclamée, l’année du verre par l’Organisation des Nations Unies. L’occasion pour le Cerfav (Centre européen des recherches et de formations aux arts verriers) de renforcer son rôle de transfert de technologies auprès des entreprises.
L’Organisation des Nations Unies vient de proclamer 2022, comme l’année du verre, une occasion à ne pas louper pour le Cerfav ?
Pour le Cerfav et pour l’ensemble du réseau Résolor (Réseau verrier lorrain) dont nous faisons partie. Nous entendons être un des acteurs prépondérants de cette séquence. Cela vaut aussi bien pour mener les projets porteurs déjà engagés que pour faire valoir nos perspectives à moyen et long terme en faveur de la filière et des territoires.
Notamment au niveau des entreprises ?
Nous sommes agréés CIR (Crédit impôt recherche), labellisé CRT (Centre de ressources technologiques) par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et laboratoire commun par l’ANR (Agence nationale de recherche), le transfert de technologies est dans notre ADN.
Vous venez d’être tout juste nommée directrice en succédant à Denis Garcia, une continuité ?
L’an passé, j’ai été nommée directrice adjointe pour que cette transmission s’opère idéalement. Cela fait quinze ans que je suis au Cerfav où j’ai assuré le développement du pôle R&D, notamment, pour les prestations auprès des entreprises.